Titre : Hell Kitchen
Console : DS
Genre : Jeu de cuisine pour jumeaux diaboliques
Sortie : 2008
Editeurs : Ubisoft
Développeurs : Ludia
Nombre de joueurs : 1
Existe aussi sur : RIEN ! RIEN ! MOUAHAHAHAHA (Ah si sur PC aussi)
PEGI : Cuistot en manque de poivrons et d’orbitales atomiques
… Ce qui explique donc l’attitude très impersonnel de l’être humain par rapport à son âme, son subconscient mais aussi son inconscient car, comme le dirait Platon : « Wouais, cousin t’assures trop grave avec ton camion benne ». D’ailleurs, en parlant de ça, est-ce que vous vous êtes déjà demandé ce que ça donnerait Cauchemars en cuisine en jeu-vidéo ?
Hum hum…
Ah…
Hum hum…
On me signale que je suis un trapèze, ce qui est absolument faux d’ailleurs. Donc nous sommes réunis ici aujourd’hui, non pas pour célébrer un mariage mais pour répondre à cette délicate question : Mais bon dieu de passoire, qu’est-ce que ça peut donc être qu’un jeu sur cette émission culte qu’est : Cauchemars en cuisine (Hell Kitchen en anglais, et vous verrez que ça a son importance).
Parlons un peu de l’émission parce que je suppose qu’il y a peu de personnes qui regardent la TNT pour le fun parmi vous, et donc peu de personne connaisse Hell Kitchen. Bon en vérité, Hell Kitchen est une émission différente de Cauchemars en Cuisine mais avec le même présentateur et… c’est tout en fait. Dans ce jeu singulier, genre de Top Chef bizarre mixé avec une séance de sado-masochisme publique, des jeunes chefs se font exploiter et martyriser par Gordon Ramsay, chef blond mais néanmoins prestigieux, qui a décidé de les faire devenir des super bogoss de la cuisine.
Bref, c’est une émission avec de la testostérone !
De l’émission avec un Gordon Ramsey qui gueule !
Qui se montre méchant gratuitement !
Maintenant intéressons nous à la guimauve ramollie qu’est ce jeu.
Outre la métaphore qui colle super bien à la thématique cuisine (vous pouvez admirez l’effort, j’aurais pu dire que ce jeu était un cheval ignifugé ou encore un follicule carabiné, mais non j’ai choisi spécifiquement « guimauve ramollie »), l’image a le mérite d’être… vraie.
Vous savez parfois j’exagère un peu dans mes tests parce que je suis démoli psychologiquement par les expériences que j’endure mais ici… Bah je n’ai pas été démoli psychologiquement, tout simplement car l’attaque de ce jeu est trop fourbe pour que je puisse l’avouer.
Ce jeu est chiant.
Horriblement chiant.
On pouvait s’attendre à un minimum de clash, d’effets sonores de bombes nucléaires, de mitraillettes ou… je ne sais pas… de scolopendre qui envahissent la fenêtre ! Je ne sais pas, le titre du jeu c’est Hell Kitchen ! Si on le traduit on obtient : « La loutre frigidaire »… Pardon, c’est Google Trad qui ne sait visiblement (?) pas traduire en français, je disais donc, si on traduit on obtient : « Enfer Cuisine ». Oui c’est pas très français mais est-ce que c’est ma faute si ils savent pas écrire ?
Bref, pour un jeu qui s’appellerait « Bizounours Cuisine » ou encore « Charperlipopette je cuisine des poireaux avec trois kilos de beurres car je suis un chef du terroir » et ce même si tout dans ce jeu est pourri, j’aurais pu me dire qu’au final ce n’est pas si grave car le jeu représente le titre.
Mais ici c’est de la merde qu’on essaye de vendre comme un match de catch entre cuisinier…
Oui, à défaut que le jeu colle avec son titre, j’ai décidé que mes noms de partie auraient la gentillesse de le faire. Je sais, je suis trop… j’allais dire un mot mais comme je ne m’en rappelle plus je vais le remplacer par un mot random qui n’a aucun sens pour garder une certaine logique… balustrade.
Donc bon, parlons un peu un peu du gameplay de ce formidable jeu.
Donc, on est à la tête du Hell Kitchen, un resto trop super cool où il faut servir des clients trop super pas cools sous l’oeil du trop super classe mais quand même un peu méchant faut pas déconner Gordon qui vous raconte des trucs de temps en temps soit pour vous insulter, soit pour vous féliciter. Soit pour vous dire que la cuisine est ouverte. Ou encore pour vous dire qu’il a rendez-vous avec le pédiatre l’après-midi.
Non, la dernière je l’ai ajouté, parce qu’en fait y a cinq répliques dans le jeu qui passent en boucle en fait mais je voulais faire genre il y avait un choix impressionnant. Je suis tellement… balustrade (non j’ai toujours pas le mot en tête alors on va se contenter de ça).
Mais alors ? Comment fait-on pour gérer ce restaurant ?
Bah comme n’importe quelle simulation de restaurant en fait. On a une salle où il faut accueillir les clients, les amener à leurs places, prendre leurs commandes, les servir, les faire payer (en les tapant si ils sont récalcitrants ahahahaha… non je vous rappelle que le jeu est mou, faut pas déconner non plus) et puis débarrasser leur table.
Bon, pour tout vous avouer j’ai toujours cru que ce genre de jeu était réservé à se perde au fin fond du classement des applications Ipad avec le très célébrée feu de cheminée, ou encore le fameux jeu de « touche les boules pour qu’elles volent » ou encore, à la limite, aux jeux par défaut de Windows (y a un jeu comme ça livrer avec Vista je vous assure… oui, c’est Vista [/troll]), mais je croyais pas avant d’avoir vu ce jeu que des éditeurs pourraient vendre un truc du genre à plus de cinq euros et que, surtout, des gens pourraient l’avoir acheter.
Parallèlement à la salle, vous pouvez aussi jouer en cuisine.
…
Voilà.
Je devrais peut-être développer l’aspect cuisine peut-être…
Alors en fait c’est très, mais alors très simple.
Vous pouvez switcher dans la cuisine à tout moment et à ce moment là vous devez préparer les plats que les clients vous en commandé sous l’oeil complice de Gordon qui regarde dans le vide depuis dix bonnes minutes. Ici c’est là que tout se passe !
En fait pour tout vous dire cette partie a de bonnes idées, vraiment, mais ces bonnes idées rendent le jeu encore plus mollement instable ! Alors je vous explique, dans la cuisine on a plusieurs tupperware qui sont sur le bord de l’écran. Au fur et à mesure du jeu des nouveaux tupperware apparaissent, rendant ainsi le jeu plus ardu puisqu’il faut jongler entre les différents ingrédient, et quand je dit jongler je ne parle pas au sens propre, il est évident que dans ce jeu vous ne verrez jamais votre personnage jongler avec… et ça mérite trois points de moins sur la moyenne !
… Hum… Pardon… Donc on doit choisir son ingrédient, là votre personnage se met à secouer le tupperware (What ?) pendant cinq minutes avant de l’ouvrir de nouveau mais avec des trucs en poudre à l’intérieur (WHAT ?), là on peut le mettre dans des casseroles devant nous. Le plat commence à chauffer quand tous les ingrédient sont dans la casserole, ou la poêle ou même le camion benne si vous avez envie, et ont un temps de préparation très stricte, représenté par le compteur à côté des plaques qui vous montre le temps restant. De plus un plat devient moins bon en refroidissant, il faut donc astucieusement jongler avec les temps de cuisson (et je parle toujours au sens propre et non au… okay je me tais). Donc toute la partie en cuisine devient véritablement stratégique.
Et puis on s’en fiche que les desserts soient préparés avec du poulet en poudre et des légumes en poudre non ?
Ce qui était une bonne idée devient vraiment relou tellement le temps de secouage de tupperware prends des plombes. Au début quand y a qu’une table avec un seul client, ça peut aller encore, mais quand il y a plusieurs clients, le fait de devoir attendre que Mister Cuistot arrête de danser la salsa avec les ingrédient devient franchement lourd.
D’ailleurs un petit truc très lourd aussi… LE CHANGEMENT DE PLAT !
Sérieusement, c’est peut-être le truc dans ce jeu qui m’a donné envie de me lever de ma chaise, de cracher sur des chatons malades et de lancer des merguez sur des handicapés en train de faire leurs course à Lidle ! Je ne sais pas pourquoi, ni dans quelle optique, ni même qui a pu violer dans leurs enfances ces développeurs, mais non… ce n’est pas possible d’être aussi débiles (et je pèse mes mots, pas au sens figuré mais au…HEADSHOT !).
En fait, j’ai découvert mystérieusement lors de la cinquième mission du jeu que quand dans la cuisine on prépare un plat et que l’on décide de regarder quels sont les ingrédients nécessaires pour le plat suivant, le premier plat… DISPARAIT TOTALEMENT !
En gros, j’étais en train de préparer un plat de… je ne sais pas trop quoi mais y avait une dose de poulet, une dose de légume et un peu de poudre de céréales ou un truc du genre… Et là j’ai eu le malheur de regarder ce qu’il me faudrait ensuite pour que Mister Chachacha commence sa danse endiablé dans la cuisine, quand je suis revenu sur le plat en cours, y avait plus rien. Toutes les casseroles s’était vidée.
Je ne sais pas si c’est un gameplay foireux ou si c’est pour coller à la réalité (en cuisine faut être à l’affût, on détourne les yeux cinq secondes et des voleurs viennent piquer nos ingrédients et nos plats en cours de cuisson peut-être) mais franchement, c’est juste totalement, hyper FRUSTRANT !
Et vous savez le pire ?
Non… vous ne savez pas, bien entendu…
C’est qu’il y a des astuces qui apparaissent au début de chaque mission et l’une d’elle est… tenez vous bien… « Pendant la préparation d’un plat regarde les commandes suivantes pour commencer à préparer tes ingrédients ». Soit les développeurs sont des trolls en puissance qui se nourrissent de notre frustration, soit… ces mecs n’ont jamais joués au jeu ! C’EST SURTOUT CE QU’IL NE FAUT PAS FAIRE ! SURTOUT PAS ! SUR-TOUT PAS !
Je le sais, j’ai perdu des heures avec ça, Gordon a commencé à me gueuler dessus (vous savez il a commencé à m’insulter avec la bouche floutée, ce qui montre en Amérique à quel point ces mots sont vulgaires) en me disant que j’étais en retard.
Ouaip, il a commencé à m’insulter.
Ouais, comme je vous le disais précédemment, Gordon possède un panel de dialogue impressionnant. Que ce soit au début de la journée entre son « Allons y » ou son « Vous êtes prêt ? », et à la fin de la journée avec son « Félicitation » (à la fin de la journée il est crevé, il a même plus la force d’avoir deux répliques différentes).
Mais il y a aussi pendant la journée où il nous dit soit « C’est très bien » ou « Ca c’est ce que j’aime », ou encore « Tu fais quoi là ? » ou bien le très célèbre « C’est pas bon » et enfin « Bouge toi les f**** (bouche floutée) ! ».
… Voilà je crois que j’ai fait le tour des dialogues possibles dans le jeu.
Donc bon, je pense qu’on peut dire qu’on est assez soft en ce qui concerne… à peu près tout dans ce jeu. Et le reste du temps Gordon se contente de regarder vite fait dans le vide en se demandant sûrement ce qu’il mangerait ce soir en hésitant à commander une pizza.
Pour continuer sur les sons alors…
Donc concernant Gordon…
Je ne sais pas de quoi vous parler en premier… Les sons sûrement. La seule chose de bien, outre les six dialogues qui tournent en boucle faisant passer le cuisinier pour un vieux sénile s’étant échappé de la maison de retraite où il pouvait pourtant sentir de façon si subtile les lilas éclore, c’est la musique du menu principale qui a l’air d’être celle du générique de l’émission et qui, même si la qualité est pas top (sans vouloir être méchant, je ne savais pas que la DS pouvait autant s’approcher de la Megadrive sur ce point), reste à peu près écoutable. Après dans les niveaux y a pas de musique, ou alors si il y en a, je les ai pas entendu… ce qui n’est pas bon signe soit pour mon audition, soit pour la qualité de la bande sonore.
Non je suis méchant, niveau sonore y a aussi le bruit des casseroles, le bruit des flammes, le bruit de la salsa des légumes (Tchiktchiktchikrumblerumble de mémoire) mais aussi les superbes… « Hum hum »… Yep, parce que dans ce jeu, tous les personnages, votre héros inclus, parlent en faisant des « Hum Hum » à tout bout de champs. Ce qui donne au jeu un certain… cachet…
Cuisinier : Hum Hum
Client 1 : Hum hum
Client 2 : Hum Hum
Cuisiner : Hum Hum
Chef de salle : Hum Hum
Client 2 : Hum Hum
Gordon Ramsay : C’est très bien
Cuisinier : Hum Hum ?
Chef de salle : Hum Hum
ZEL : Hum Hum
Gordon : Tu fais quoi là ?
… J’ai besoin d’en dire plus ?
Si c’est pour qu’ils fassent des « Hum Hum » à chaque fois qu’ils bougent, mangent, ou décide d’entamer un gigue endiablé avec un pot de fleur, autant les faire taire ! Ça aurait été nettement moins chiant à entendre et au moins j’aurais pas eu l’impression de jouer un restaurant de sourd-muet essayant en vain de communiquer ensemble pour s’informer mutuellement que faire des « Hum Hum » à répétition pourrait taper légèrement sur le système de n’importe quel humain normal !
Juste pour revenir à Gordon la potiche vivante qui sort quelques phrases de temps en temps, il faut aussi noter qu’il est aussi un peu con puisque attribue des notes finales farfelues. Prenons par exemple le jour où j’ai fait n’importe quoi à cause du problème des commandes. Gordon a pas arrêter de me gueuler dessus parce que j’étais en retard, les plats que j’ai préparés étaient pas bons selon lui. Heureusement, je m’en suis tiré avec un Parfait.
Je ne rigole pas, rien n’a été truqué.
Vous pouvez faire n’importe quoi pendant tout le long, Gordon aura soudainement sa crise d’amnésie du mois (encore un point laissant supposer qu’il sort vraiment d’une maison de retraite) et vous félicitera en vous disant que bon vous avez été un gros nul, mais c’était quand même super cool ce que vous avez fait (?)
D’ailleurs y a pas que sur les problèmes légèrement mentaux que Gordon a morflé dans ce jeu, dans son design aussi pas mal. Je ne peux pas résister à l’envie de vous montrer deux images du cuisinier. Je vous préviens, c’est de l’art alors… portez des lunettes.
Œuvre numéro 1 : J’ai des problèmes d’orbites oculaires mais je me soigne.
Œuvre numéro 2 : J’ai des problèmes d’ossature à peu près partout sur mon visage mais je m’en fout ça me donne un air fougueux et méchant.
En fait tout le problème de ce jeu vient du fait que tout est ultra pixelisé et que donc tout est vraiment ultra moche, en permanence. Ça installe une certaine routine et vous permet soudainement d’avoir une nouvelle vision de la vie. Finalement même le premier Mario vous paraît avoir des graphismes de fou et pas si pixelisé que ça par rapport à ce jeu.
Tenez, une scène normale de ce jeu :
Oui, les flammes sont pixelisées à mort, Gordon est pixelisée à mort, même les clients sont des bouillis de pixels… Et alors ? Les pixels aussi ont le droit de manger ! Je suis contre cette discrimination raciste ! Libérons les tables aux pixels ! On peut être de la bouillie et en manger ! Je ne suis pas d’accord ! D’ailleurs vous retrouverez mon programme présidentielle à Nices le trois avril 2004, à Limoges le cinq mai 1478 et à Saint-Féréol le dix-sept janvier de l’année bissextile qui marquera la fin de notre ère (2016 lol)
Ce qui est un peu gênant dans cette pixellisation ridicule qui n’est pas du aux capacités de la DS (ce jeu est sortit en 2008, y avait des jeux bien plus beaux à cette époque que ça quand même), c’est surtout que les programmeurs s’entêtent à essayer de caser des photos de vraies plats dans le jeu. Bon, j’ai rien contre la qualité jpeg, mais j’ai tendance à supposer qu’on peut pas faire pire… Si en fait. Bref, ils ont bien du voir que la gueule des plats ressemblaient à rien d’autre qu’une espèce de forme de vie macrobiologique en rut et cherchant à conquérir le monde quand même !
Allez, pour en finir avec les graphismes, juste pour vous citer où on en est…
Y a pas d’animation de marche.
Pas d’animation de marche.
On a des animations saccadées et pas toujours compréhensible de gens qui finissent de s’asseoir (mais qui ne commencent jamais parce que ça devait être trop difficile à faire), d’un mec qui se penche sur un tapis roulant et d’autres trucs (bon en gros y a six animations, c’est pas non plus totalement fou)… mais aucune animation de marche.
En gros, tous les personnages de ce jeu se téléporte.
Vous êtes à une table et des clients arrivent ?
/petites étoiles mignonnes/
Vous êtes maintenant là pour les accueillir.
Et pour les accompagner à leurs places ?
Bah tout le monde se téléporte vers la table, normal quoi.
On s’y fait à force vous savez.
Non en fait pas du tout.
Pour tout vous avouer, j’ai commencé à jouer à ce jeu vers… quatre heures du matin…
Et je me suis sur le moment demandé si c’était mes yeux qui déconnaient ou si c’était vraiment intentionnel (un indice, c’était vraiment intentionnel… ce qui n’est pas un indice mais la réponse… alors vous n’avez aucune excuse si vous ne trouver pas).
Voilà, je crois qu’on a fait le tour du jeu.
Pas de crise d’énervement, pas de haine viscérale… Ce jeu m’a juste vidé.
Ce jeu m’a vidé. Ce jeu est comme un grand jacuzzi à bulle qui aspire l’esprit des gens qui osent y entrer. Ouais… On pourrait appeler un jacerveaudelamortjevaistemmennerenenferuzzi…. Qu’on pourrait abréger par jacuzzi…
Et vous savez le pire ?
Vous savez quel est l’intérêt principal de ce jeu ?
Ce n’est pas le gameplay moisi, ni les graphismes pourris et encore moins le cuistot qui prépare ses plats en utilisant astucieusement ses crises d’épilepsie. Non… Le soft s’est sûrement vendu pour une seule chose : vous débloquez régulièrement des recettes de cuisine de Gordon Ramsey.
Ouaip… ce jeu est juste un livre de cuisine.
Sauf que là vous êtes obligé de souffrir pour les obtenir.
Alors bon, à qui s’adresse ce jeu alors qu’il existe pleins d’autres softs livre de cuisine normaux et qui ne vous obligent pas à passer par des mini-jeux idiots ?
J’ai deux hypothèses : A des cuisiniers en herbe masochistes et/ou à des tailles crayons souvenir de Bern. A vous de voir, mais une chose est sûr, il n’est sûrement pas pour le commun des mortels tels que vous… euh que nous.
Ce jeu est tout pourri.
Mais vraiment tout pourri.
C'est tout ce que j'ai à dire ('-')/
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KaporalChef (dimanche, 18 octobre 2015 18:57)
Calomnie !